Coupe du monde 1904-1998 *
Un Miroir du siècle
Texte inédit de François Thébaud
Présentation

Coupe du monde 1904-1998.
Un miroir du siècle.



Avant la quinzième Coupe du monde de 1994 aux USA, François Thébaud, retiré du journalisme, écrit un essai sur les Coupes du monde de football.
Il a l’expérience de ses reportages sur huit Coupes de monde (1950-1978) et a suivi quatre suivantes à la télévision.
Il ne souhaite pas aborder ce sujet à la manière de bien des livres consacrés à cette épreuve, qui privilégient les vedettes, les anecdotes… ou qui versent dans le nationalisme, mais avec un regard précis  : «  Les rapports du sport-spectacle avec ses environnements économique, politique et juridique sont très peu connus. Ces rapports constituent le sujet de ce livre  ». Il précise  : «  Tout au long de sa longue histoire, cette compétition a subi l’influence de son environnement qui a parfois faussé sa signification sportive  » (1).
A la fin de 1993 et début 1994, son manuscrit terminé, il le propose à diverses maisons d’édition. Sans succès. En 1997, après avoir apporté quelques modifications à la version précédente (titres plus parlants, tournures de phrases…) et ajouté la compétition de 1994, il réitère sa tentative pour sa publication, sans que les éditeurs à nouveau acceptent le manuscrit (2).
Il avait placé des illustrations dans un cahier central. Nous ne les avons pas retrouvées. Nous placerons des photos de nos archives.

Nous allons le présenter sur ce site sous forme de feuilleton régulier, en suivant les chapitres de la table des matières établie par François Thébaud lui-même.

Notes  :
1) Ces citations proviennent de lettres envoyées à des éditeurs.
2) En 1993, François Thébaud lui avait donné le titre provisoire de «  La Coupe du monde dans son siècle  ». En 1997, il semble avoir hésité entre deux sous-titres  : «  Coupe du monde 1904-1998. Ombres et lumière  » et «  Coupe du monde 1904-1998.Un miroir du siècle  ». Nous avons choisi ce dernier.
De manière générale, quand un passage comporte diverses versions, nous avons adopté celle qui nous semblait la plus élaborée. Avec un risque d’erreur…

A suivre